Picture
Picture
Picture

Ces probabilités, portées sur le plan sociologique, sont fausses, boiteuses (claudicamath), vaines (vanitamath), chimériques (chiméramath), parce que l'individu n'est pas une unité inerte. C'est une unité vivante, mouvante, aux réactions imprévisibles par leur inattendu. Un être, n'étant pas une chose, ne peut pas s'assimiler à un chiffre. D'où des déconvenues fatales (catafatamath) et des catastrophes (hiroschimath); car les mathématiques sont des mécaniques serviles qui se prêtent aux plus vicieux desseins (mathaputin) et aux méthodes les plus inhumaines (mathchiavel).

LES CIRCONFÉRENCES. - Elles sont formées par des signes mathématiques. Première circonférence en partant de l'intérieur : signe de la multiplication (X) ; multipliez ! ayez beaucoup d'enfants ! et signe de la division (:) ; divisez les hommes en catégories rivales ! Deuxième circonférence : signe de la soustraction (-); soustraire à l'individu le plus d'argent possible (impôts) de sueur, de sang ! Troisième circonférence : signe de l'addition (+). Alignez des hommes en gardiens du cercle: police, armée, contrôles (++++...).
Ces trois circonférences représentent aussi des séries d'obstacles pour empêcher les êtres d'échapper au cercle d'attraction. La première à des chevaux-de-frise (X) et des trous à piège (:). La deuxième : des tranchées-trappes (-). La troisième est une ligne de fil de fer barbelé (++++...). Ces trois lignes ont leurs obstacles en quinconce : si l'on évite l'un, on tombe dans l'autre : la fuite est très difficile, surtout qu'en fin de compte la dernière ligne symbolise aussi des croix (+) de bois, évoquant des cimetières militaires (++++...).

Picture

3/4

Picture
Picture